Il s’agit d’une technologie nouvelle en cours de développement. Il reste encore des mises au point technologiques à faire, notamment pour réduire les coûts. Il faut par exemple trouver un bon compromis entre la stabilité d’un flotteur et son coût. C’est sur ce point que travaillent les industriels aujourd’hui : faire un flotteur aux justes besoins qui ne bouge pas trop pour ne pas occasionner de fatigue excessive notamment en tête de mât.
Une démarche de maturation par étape est nécessaire avant de passer au stade commercial compétitif et « prêt à l’emploi ».